Le Cabaret Noir
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 Villes souterraines

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AuteurMessage
Seytahn
Lilithieuse d'Abred
Seytahn


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Villes souterraines Empty
MessageSujet: Villes souterraines   Villes souterraines EmptyJeu 17 Mar - 12:43

2 villes souterraines anciennes furent découvertes en 2007 en Turquie dans la région de Cappadocia

http://wn.com/Underground_Cities_Cappadocia_Turkey


Je les ai trouvées en cherchant des images sur le web pour voir si des éléments d'un rêve très fort en décembre 2009 existaient réellement dans le monde quelque part.
j'avais écrit ce rêve et posté sur un autre fofo quelques jours plus tard, le voici (je cherche également ce genre d'embarcations s'articulant sur une grosse embarcation dépliable et ce jeu de gants).

Citation :
Je fais partie d’un petit groupe d’intervention, je suis une jeune fille et je suis embarquée dans cette mission en tant que stagiaire.
(c’est du moins ce que mon « moi » observateur comprend en regardant la scène se dérouler)

Il s’agit d’une opération de sauvetage, afin d’éviter un danger qui menace les habitants d’un endroit (que j’ai trouvé très curieux ??
.
Celui qui semble mener l’expédition est âgé et massif, y a aussi une ou deux femmes, et moi je les suis, complètement apeurée et me demandant sans cesse ce que je fiche là et pourquoi je fais partie de ce groupe.
(Je précise qu’aucun ne porte une arme, d’ailleurs ce détail, pendant que je rêvais, ne m’a pas du tout surprise).

On s’introduit dans un lieu surpeuplé de jeunes humaines et humains,
Il s’agit de cavité et de galeries souterraines car les parois sont de terre, ocre et chatoyante, mais aucune lumière du jour ne filtre.
(C’est-ce que j’en déduis après coup : aucune fenêtre apparente en ces lieux.)

Avant de pénétrer dans ce qui semble être la voute principale (une salle immense), les membres de cette équipe marquent un temps d’arrêt dans un réduit (peut-être des toilettes ?) puis un à un s’engagent dans la pièce.
On entend des hurlements, il ne reste que celui qui dirige l’action, et il me fait un truc qui m’intrigue : 2 ou 3 bisous hâtifs sur la bouche, avant de suivre ses collègues.
Comme je suis préalablement envahie de frayeurs et d’étonnements, je le laisse faire en me disant qu’il est quand-même gonflé de profiter de la situation comme ça.
Toujours est-il qu’à mon tour je m’introduis dans cette ??? Pièce ?onumentale.
Les cris paraissent provenir de plus loin, d’autres galeries.

J’ai l’impression que la « mission » est importante, que les gens qui sont là sont à protéger, ils sont jeunes, en surnombre, n’ont pas d’autres possibilités d’aller ailleurs et il faut éviter qu’ils s’entretuent… mais ce n’est qu’une impression… je découvre tout par moi-même… et personne ne m’explique rien.

Ahurie, je regarde cette salle, et tous ces jeunes, agglutinés ici et là.
Un grand nombre est rassemblé dans des constructions qui, de loin, ressemblent à de gros bateaux en bois, se dressant dans les recoins des cavités terreuses.
Je m’approche de l’un deux, et constate qu’il s’agit de lits en forme de barques en amende, articulés les uns aux autres de telle manière que l’ensemble donne cet aspect de grand navire.
Leur architecture est agencée de telle sorte que chacune des barques peut être dépliée à l’horizontale, ou se replier en reformant, en s’étirant alors à la verticale, la structure initiale du gros bateau.
Je suis sidérée par le géni d’un telle conception, à la fois si simple, et si complexe.
C’est comme si ce bateau contenait des écailles qui peuvent s’écarter et se replier, et ces écailles sont des lits.

J’en inspecte une de plus près, n’en n’ayant jamais vu de cette sorte, auparavant.
La forme ogive pourrait prêter peu de confort, le sommier se limite à une barre en bois transversale, plate et souple, recouverte d’une fine texture soyeuse et élastique. Les rebords arrondis sont faiblement incurvés et peu profonds.
Je m’y allonge et réalise que c’est confortable et ergonomique.

Pendant ce temps l’équipe que j’aurais du suivre semble avoir trouvé d’où venait l’altercation, il y avait eu un début de bagarre et cela s’est calmé… toute mon attention se porte sur les personnes qui sont là, allongées ou assises dans ces « barques » : il y a beaucoup de jeunes filles aux cheveux longs et noirs, la plupart ont la peau sombre et de grands yeux en amande.

A un moment je ne sais comment, je me retrouve assise sur une des barques, en hauteur, en spectatrice. Ca fourmille de partout. Je remarque alors que sur cette barque un jeune homme y est aussi assis, et du coup, je le détaille : il a des cheveux longs, noir brillant, lisses, la peau sombre, un nez droit (je le vois de profil) dans le prolongement de son front.
Je me dis qu’il a le type vaguement indien, sans en être sûre.

Et puis, plus loin, j’entends des éclats de rire, deux jeunes filles semblent follement s’amuser. Et d’un coup je me retrouve devant elles, et là je constate qu’elles jouent au « jeu de gants » (on pourrait appeler ça comme ça, je n’avais jamais vu ce genre de jeu auparavant).
C’est en fait une paire de gants cousus entre eux à la couture verticale
des pouces, cette paire étant elle-même cousue à sa base par une autre paire, en dessous. Le jeu consiste à enfiler rapidement les gants du dessous alors que la partenaire en face porte ceux du dessus, ce qui du coup les lui enlève, alors, elle les enfile à son tour par en dessous, et ainsi de suite …
Je suis intriguée par la simplicité de ce jeu et les fous rires qu’il génère.
Du coup, amusée, je m’approche encore plus des jeunes filles et reconnait celle qui me fait face : elle est petite de taille, a des cheveux courts, n’arrête pas de rire, et contrairement aux autres et à moi, son squelette semble court et épais. Je vois nettement ses traits, son visage rond, je me demande ce que cette connaissance fait là.

Je me rends compte qu’un nouveau changement de situation se produit.

Sa partenaire de jeu, qui me tournait le dos, n’est autre que moi en fait…
c’est bel et bien moi qui joue à ce jeu inconnu avec cette connaissance, faisant partie de cette communauté vivant dans ces galeries souterraines.

(Mais bon ça mon « moi observateur » durant le déroulement d’un rêve, y est habitué, il arrive souvent que je sois la spectatrice d’un monde, d’un peuple, et d’une situation qui me surprennent par leur bizarrerie, dans le sens que je n’y trouve pas les repères en référence avec le cadre de ma réalité habituelle, et que je découvre à la fin que je fais partie intégrante de ce monde étranger. Au début j’en étais stupéfaite, et puis, je m’y suis familiarisée).

Alors je me réveille et suis tellement contente de me souvenir de ce rêve que j’essaie de fixer dans ma mémoire surtout l’architecture des lits, que je ne pense avoir vu nulle part ailleurs dans la réalité (j’ai une certaine fascination pour les structures).
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